Identité nationale, politique et démocratie

, par David Soldini

Identité nationale, politique et démocratie

« Bon nombre de conflit ou d’actes barbares sont alimentés par l’illusion d’une identité unique, qui ne peut faire l’objet d’un choix. L’art de distiller la haine se cache bien souvent derrière le pouvoir quasi magique d’une identité prétendument dominante qui étouffe les autres possibilités d’affiliation et dont les dehors belliqueux inhibent les sentiments de bienveillance et de compassion que nous pourrions éprouver en temps normal. Il peut en résulter une violence élémentaire et frustre… »

Ces lignes sont d’Amartya Sen, tirées d’un livre intitulé « Identité et violence ». À lui seul, il suffirait à clore, définitivement, le débat qui a récemment agité les français et leurs responsables politiques. Il semblerait malheureusement que les livres, même lorsqu’ils sont écrits par des économistes nobelisés, ne suffisent pas à instruire et à tempérer les ardeurs de certains de nos élus.

Identité et politique ne font guère bon ménage. Dans une certaine mesure, ces deux notions peuvent même être considérées comme exclusives l’une de l’autre. Elles s’opposent ou plus exactement ne peuvent cohabiter. La présence de l’une rend impossible celle de l’autre.

L’opposition essentielle de l’identité et de la politique.

La notion d’identité provient du latin « identitas », « qualité de ce qui est même ». Dans la sphère politique, qui s’intéresse au collectif, elle renvoie à l’idée d’une communauté d’individus semblables. Certes, personne ne m’est parfaitement identique, mais certains traits de mon être se retrouvent chez d’autres et permettent de définir des communautés, idéologiques, éthiques, religieuses, historiques, génétiques, géographiques… J’appartiens ainsi à différents groupes constitués par ceux qui me sont semblables pour telles ou telles raisons objectives et/ou subjectives. L’agencement de ces différentes identités constitue ma spécifité et permet de me définir en me distinguant des autres. L’imbrication de mes diverses identités constitue mon alterité et mon individualité.

L’identité à l’autre ne peut être totale et concerner l’ensemble de mon être, car cela signifierait que je n’existe plus, que je suis un autre, que je ne suis plus moi ou plutôt que moi est un autre.

Imaginons cependant un instant que cette identité absolue existe. Alors, je serai identique à mon prochain toujours en accord avec lui. Nul besoin d’instituer des règles de conduite pour nous permettre de vivre ensemble et de cohabiter. Nous aurions systématiquement le même avis et prendrions toujours les mêmes décisions. Les institutions politiques nécessaires pour régler nos conflits ou pour simplement décider ensemble seraient inutiles. Nous ne serions qu’un. La communauté que nous formerions ne serait pas réellement collective mais constituée par des êtres identiques, réagissant toujours de la même façon.

Ce n’est que parce que ce cauchemar n’est pas réel que la politique existe. La politique au sens noble, la Politeia des grecs, se définit comme l’art, ou la science, qui consiste à inventer des moyens permettant à des individus différents de résoudre ensemble des problèmes communs. Elle suppose la différence car elle vise précisément son dépassement. Que ce soit au sein de systèmes démocratiques ou dans des modèles autocratiques, quelque soit le degré de concentration de pouvoir et de liberté, la politique se définit toujours comme un moyen pour surmonter les différences en déterminant des méthodes permettant de décider pour tous.

La démocratie repose sur le postulat qu’il est possible de déterminer des solutions communes en permettant à chacun d’exprimer son point de vue et de faire valoir sa différence. La décision démocratique se distingue de celle autocratique car elle propose une solution de dépassement élaborée grâce à l’apport de l’ensemble des points de vue présents dans une communauté. En revanche la décision autocratique surmonte les différences en les annihilant et en faisant primer un point de vue sur les autres. Dans les deux cas, il s’agit de techniques visant à surmonter un état de fait, conséquence de nos différences.

Un rapide regard sur leurs définitions respectives permet de comprendre qu’identité et politique sont des notions qui s’opposent irrémédiablement. C’est l’absence d’identité qui rend nécessaire la politique.

Les fictions de l’identité nationale et la redéfinition de la politique

Les fictions consistant à renverser la problématique et affirmer que les systèmes politiques – en particulier les Etats – ne peuvent se constituer sans qu’il y ait une identité entre les membres du groupe, ou à l’inverse, que la constitution d’un système politique créerait, à terme, une identité entre les membres de la communauté sans laquelle elle ne pourrait subsister, reposent sur des abus de langage. Ces fictions ont historiquement servi de fondement à l’oppression, la tyrannie, la volonté d’agression et de domination. Elles sont aujourd’hui au cœur du débat sur l’identité nationale.

Elles reposent sur une redéfinition de ce qu’est la politique : il ne s’agit plus de rechercher des moyens pour prendre des décision collectives dans le cadre d’une communauté constituée d’êtres différents mais de sublimer une forme d’identité réelle ou imaginaire des membres de la communauté. Cette identité sublimée est forcément fictive car si elle était réelle, la communauté serait constituée de clones. Et naturellement, la politique telle que définie précédemment, existe toujours puisqu’il faut nécessairement continuer à prendre des décision pour la communauté.

La raison d’être de ces fictions est simple : il s’agit de faire accepter aux membres d’une communauté des décisions autoritaires, c’est-à-dire qu’il s’agit de faire croire qu’une décision politique exprimant l’opinion d’un seul ou uniquement d’une composante de la communauté est en réalité nécessairement partagée, acceptée par tous. Telle ou telle décision ou orientation devient constitutive de notre appartenance à une communauté politique. Il ne peut y avoir de dissension au sein de la communauté nationale absolue. Celui qui n’est pas d’accord ne fait tout simplement plus partie de cette communauté. Celui qui veut faire partie de la communauté doit nécessairement en accepter toutes les conséquences.

Ce processus explique pourquoi le mythe de l’identité nationale s’est construit et renforcé en des périodes où, pour des raisons plus ou moins légitimes, les gouvernants avaient besoin de souder la communauté nationale, de faire en sorte que de nécessairement plurielle elle se perçoive comme unique. Naturellement, les périodes de guerre ou d’avant guerre représentent des paroxysmes de la construction du mythe identitaire : unifier la communauté apparait comme une condition de sa survie.

Les conséquences du mythe

Le mythe de l’identité nationale s’apparente alors à une simple technique, relativement archaïque, servant à justifier l’autoritarisme. Il ne peut engendrer qu’aveuglement, repli sur soit et violence car il procède d’une volonté d’annihiler ce qui fait précisément la richesse d’une communauté, sa diversité, sa capacité à créer des échanges, à s’intéresser à autre chose qu’à soi. Il détourne les individus de la recherche de meilleures institutions politiques puisque celles-ci apparaissent désormais secondaires. L’important n’est plus de respecter l’avis de l’autre mais de s’assurer que nous ayons tous le même avis. . L’affirmation du mythe détruit également toute volonté de progrès des individus, enfermés dans une vision figée de leur propre identité. Il ne s’agit plus de se construire une personnalité, une individualité, mais de ressembler à quelque chose qui existe. L’œuvre d’autosatisfaction, pour ne pas dire auto-glorification qui découle de l’affirmation d’une identité nationale, limite l’horizon des individus, ils n’aspirent à n’être qu’un seul être, forcément aride et desséché.

Ainsi le mythe de l’identité nationale est non seulement nuisible car il occulte la véritable fonction de la politique et favorise l’autoritarisme au détriment de la démocratie, il empêche également à la politique de servir l’émancipation personnelle des membres de la communauté. La force de la démocratie n’est pas seulement de respecter les différences tout en facilitant la prise de décision commune. C’est également sa capacité à poser les fondements nécessaires à l’échange, à la confrontation à l’autre, de créer les conditions de l’émancipation et du progrès.

Le débat sur l’identité n’a donc aucune vertu. Il ne peut produire aucun bienfait pour la communauté. Il a pour unique fonction d’exclure les uns pour condamner les autres à une existence d’aliénée. Il n’a rien à faire dans une démocratie qui repose sur le postulat que l’ouverture à l’autre constitue un progrès en soit.

Illustration : image tirée du site de la Commission européenne.

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Vos commentaires
  • Le 10 février 2010 à 07:58, par Valéry-Xavier Lentz En réponse à : Identité nationale, politique et démocratie

    Merci pour cet excellent article qui apporte un éclairage supplémentaire au pathétique « débat » initié par le gouvernement français.

    Le lien entre ce thème et une démarche autoritariste est clair. Des épisodes récents le démontrent comme celui de ce refus de naturalisation lié à la question de la « burqa » où le discours dominant est que si on ne partage pas un point de vue particulier sur la question alors on est littéralement exclu de la communauté nationale.

    De ce fait je nuancerais ton propos sur la décision démocratique. L’apport des différents points de vue présents dans la communauté ne sert pas dans un système jacobin à définir la décision mais plus simplement à déterminer le sens dans lequel penche la majorité. Ainsi, on ne prend pas en compte les différents points de vue pour rechercher une décision satisfaisant le plus grand nombre mais on vérifie seulement que la décision imposée à tous a le soutien d’une majorité, souvent relative, de la communauté. Du coup on se trouve souvent face à des interdictions brutales, mais soutenues par une majorité, plutôt que vers la recherche de l’aménagement d’espaces de libertés pour chacun, notamment les minoritaires. Une sorte d’autoritarisme soft, donc.

    Tu n’as pas rappelé dans ton article le lien entre ce mythe de l’identité nationale et le système politique dont il est le fondement, celui de l’État-nation. L’idée de nation a eu historiquement en effet pour vocation de succéder à la souveraineté royale comme principe de légitimation de l’État. Le plus souvent, c’est en inventant et en construisant une identité nationale que les élites au pouvoir ont trouvés un instrument pour y demeurer et s’efforcer de transformer en communauté de citoyens les sujets des anciens royaumes.

    De ce fait il n’est pas anodin que les conservateurs aujourd’hui nous ressortent ce mythe alors que l’État-nation dépérit lentement pour des formes politiques nouvelles plus adaptées à notre époque. On reste dans une manipulation de l’opinion ayant pour objectif la relégitimation du pouvoir national. La dimension potentiellement rassembleuse de cette identité étant essentiellement fictive, ou plus précisément mythologique, il est naturel de constater des dérives vers un discours d’exclusion, faisant toujours potentiellement école en période de crise et d’incertitude.

  • Le 10 février 2010 à 10:09, par Cédric En réponse à : Identité nationale, politique et démocratie

    Quelle est la solution ? Mettre fin au principe de majorité ? Faut-il mettre tout le monde d’accord ?

    Autre remarque : la procrastination sur l’Etat nation n’est pas l’apanage de la droite. L’anti-américanisme spontex, les envolées lyriques sur le « modèle social français » menacé par l’« ultralibéralisme anglosaxon » (voir la paille dans l’oeil du voisin...) sont autant de manipulations de l’opinion.

  • Le 10 février 2010 à 11:21, par david En réponse à : Message à la rédaction

    Message à la rédaction : à noter, je ne suis plus vice président de quoi que ce soit. Simple militant, et simple citoyen :). Merci pour cette publication expresse. Amitiés, David

  • Le 10 février 2010 à 11:46, par Fabien Cazenave En réponse à : Message à la rédaction

    C’est vrai ça... On change immédiatement cette information.

  • Le 10 février 2010 à 19:22, par Valéry-Xavier Lentz En réponse à : Identité européenne

    Pendant ce temps d’autres planchent sur le thème de l’identité européenne : Qu’est-ce qu’être européen ? (PDF) sur le site de Sauvons l’Europe.

  • Le 10 février 2010 à 19:34, par Valéry-Xavier Lentz En réponse à : Identité nationale, politique et démocratie

    Il y a en effet un tropisme jacobin et nationaliste fort à la gauche de la gauche, issu d’une part d’un conservatisme "républicain", c’est à dire une tentative de préserver l’idéologie nationaliste qui s’est confondue un temps avec l’idée de République, d’autre part de la perception de la fin des utopies de la gauche du 20e siècle (le marxisme et ses variantes) et le réflexe de repli sur un pré carré national où le Grand soir serait peut être encore possible, ce que Dominique Reynié avait décrit dans son essai « Le vertige social-nationaliste : La gauche du Non et le référendum de 2005 ».

    En ce qui concerne le principe majoritaire, il pose en effet problème car il ne reflète pas la réalité des opinions dans la communauté. La déformation de l’expression par un mode de scrutin majoritaire implique qu’une minorité des suffrages exprimés aboutit à une large majorité dans les assemblées. Du coup le débat parlementaire se résume à un pur formalisme, et il n’existe guère de possibilité de négociation ou de compromis, seul moyen de s’assurer que les décisions prises soient acceptables par le plus grand nombre. Ce phénomène est bien sur plus fort dans les États centralisés. Dans une société fédérale où les partis ne sont pas centralisés, une majorité parlementaire n’implique pas l’absence de débat, le camp majoritaire étant lui même divers. Bref, pour la France, en tout cas, une 6e République est indispensable, où le parlement ne soit pas une simple chambre d’enregistrement.

  • Le 10 février 2010 à 21:08, par Cédric En réponse à : Identité nationale, politique et démocratie

    Sur l’objectif, je suis d’accord : il faut plus de proportionnelle pour élire les députés.

    Mais sur le constat... quelques nuances.

    Il est vrai que la majorité fait bloc dans de nombreux domaines, comme la sécurité et l’immigration. Et on en voit les conséquences déplorables.

    Mais, à l’inverse, sur un nombre considérable de sujets notamment socio-économiques, c’est bien au sein de la majorité que les débats ont lieu. Pas entre majorité et opposition.

    Ex : la TVA à 5,5%, les niches fiscales, les déficits, la réforme territoriale, la taxe carbone, le travail le dimanche, et j’en passe.

    Sur ces sujets, c’est l’opposition au sein même de l’UMP qui a été la plus visible et relayée. Ce qui est à la fois rassurant pour la démocratie, et inquiétant pour le PS.

  • Le 11 février 2010 à 01:17, par Europeen En réponse à : Identité nationale, politique et démocratie

    Je tenais juste à dire que ce débat est ridicule, et que même n’importe quel français a vite débusqué la supercherie qui consistait à attirer quelques xénophobes, nationalistes de l’extrême droite vers le parti présidentiel. Elle est enfin terminée cette « discussion » sans aucun sens, ouf !

    En revanche, le gouvernement pourrait lancer une campagne raccordant un peu plus les citoyens à l’Europe, ces citoyens qui ont l’impression d’être si éloigné, alors que l’Europe agit de plus en plus dans notre quotidien.

  • Le 12 février 2010 à 14:12, par KPM En réponse à : Identité nationale, politique et démocratie

    Tiens cette histoire de pré-carré national, ça me fait fortement penser au mythe fondateur du sionisme... En effet, selon les sionistes, les Juifs ont besoin d’un État qui soit le dernier recours, le petit coin de terre dans lequel leur sécurité sera garantie. Et ce mythe persiste alors même que l’État d’Israël n’est certainement pas le lieu de la planète où les Juifs sont le plus en sécurité.

    Mais c’est plus fort qu’eux, ils ont besoin d’une terre à eux, un pré carré dans lequel ils seront en majorité et pourront faire la loi... Et, tout comme tes gauchistes, ils « oublient » que si le reste du monde est réellement contre eux, ils ne pourront pas faire grand-chose, qu’ils soient majoritaires sur leur bout de terre ou pas.

    Dans une moindre mesure, ça fait un peu penser aux Suisses, qui préfèrent encore appliquer des lois européennes qu’ils n’ont pas décidées (et perdre donc une souveraineté réelle), plutôt que de renoncer à la moindre once de souveraineté théorique sur leur bout de terre.

  • Le 12 février 2010 à 14:21, par KPM En réponse à : Identité absolue et totalitarisme

    Très intéressant cet article.

    En particulier, le passage sur l’identité absolue est vraiment pertinent. Il entre parfaitement en résonance avec la doctrine totalitaire. En effet, le postulat fondamental du totalitarisme est qu’il y a un seul peuple, une seule identité partagée par tous, plus d’individus, plus de différences, une seule pensée. Toute opposition ou distinction est considérée comme de la maladie mentale (schizophrénie : se croire plusieurs alors qu’on est un).

    Dans l’idéal totalitaire, il n’y a plus besoin de police, plus besoin de parti, plus besoin d’État car effectivement tout le monde pense de la même façon : la coercition est inutile. Dans les faits, le totalitarisme réel se rapproche de cet idéal en faisant en sorte que la masse supprime d’elle-même toute excroissance, le nirvana étant atteint quand il n’y a même plus besoin de délation car les dissidents se dénoncent eux-mêmes (fréquemment le cas sous Staline).

  • Le 12 février 2010 à 15:53, par david En réponse à : Identité nationale, politique et démocratie

    cela n’a rien de très rassurant pour la démocratie de voir que les débats politiques ont lieu au sein des partis politiques plutôt que dans les institutions prévues à cet effet. Les partis n’ont pas vocation à remplacer le parlement. Pour en revenir au sujet, il ne s’agit pas nécessairement de remettre en cause le principe majoritaire comme mode de décision, mais de bien comprendre que la démocraticité d’un système dépend essentiellement de l’importance accordée à la discussion publique. Sinon, force est d’admettre que Staline aurait eu raison de répondre aux américains critiquant le totalitarisme russe : « chez nous il y a un seul candidat, chez vous deux qui pensent et proposent la même chose. Selon votre conception la démocratie se résume donc à instituer un candidat supplémentaire ». Or, Staline a tord car la démocratie américaine ne se résume pas, fort heureusement, à une méthode pour désigner un chef. Le vote et le principe majoritaire peuvent tout aussi bien servir la démocratie que l’autoritarisme. En deux mots, l’élection, le vote, le majoritaire, ce n’est pas l’aiguille de la balance démocratique.

  • Le 12 février 2010 à 16:13, par Cédric En réponse à : Identité nationale, politique et démocratie

    Vous préféreriez que l’UMP vote comme un seul homme sur toutes les propositions du gouvernement, après discussion avec les autres partis présents à l’Assemblée ? Car l’UMP a la majorité absolue.

    Je ne vous parle pas d’une démocratie utopique parfaite, moi. Je vous parle du système dans lequel nous vivons.

    Je ne dis rien d’autre que ceci : en France, il est bon qu’il y ait une diversité de points de vue au sein des deux partis majoritaires, pour deux raisons :
     car le mode d’élection de l’Assemblée nationale favorise l’obtention de majorités absolues,
     car les débats gauche-droite sont souvent (pas toujours) caricaturaux et superficiels, ce qui est moins vrai lors de remises en cause d’un projet gouvernemental au sein même de la majorité (quelle qu’elle soit).

  • Le 13 février 2010 à 16:46, par Christian En réponse à : Identité nationale, politique et démocratie

    En réaction à cet article, je vous invite à passer de la pensée à l’action en rejoignant la longue liste de citoyens exhortant M. Sarkozy et son gouvernement à arrêter ce débat : http://www.arretezcedebat.com/

  • Le 2 novembre 2012 à 12:52, par affiliation En réponse à : Identité nationale, politique et démocratie

    Bonjour, à vrai dire je suis assez d’accord avec Cédric en ce qui concerne la TVA à 5,5% et le travail le dimanche. Je suis dans la restauration et je travaille le dimanche... C’est surement pour ça !

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