L’Union européenne est l’achèvement considérable d’un processus d’intégration commencé il y a environ 50 ans. C’est la preuve d’un haut niveau de maturité démocratique de voir des pays indépendants qui coopèrent volontairement et s’intègrent simultanément, refusant des privilèges afin de prendre des décisions communes. Dans certains domaines de politique étatique, ils délèguent ainsi leur pouvoir à des institutions supranationales.
Pour les États membres, l’UE est un appui économique et un soutien, une source de planification stratégique pour le développement de chaque pays. Pour les affaires, l’UE est une excellente source d’opportunités et de marchés libres ; pour la force de travail c’est une possibilité de trouver un métier correspondant le mieux avec les qualités du demandeur ; pour les jeunes c’est une chance de recevoir la meilleure éducation d’Europe, pour tous les citoyens communautaires la possibilité de voyager sans frontières.
Ce qui semble important regardant depuis le Bélarus c’est que chaque citoyen de l’UE peut être sûr que ses droits et libertés sont protégés, l’une des réalisations de la loi européenne.
Des années après son établissement, l’UE est devenue un acteur principal dans les affaires étrangères, prises en compte comme un tout. Il est impossible d’estimer l’influence de l’UE dans les processus politiques, économiques, sociaux et même culturels qui ont lieu dans le monde d’aujourd’hui. De plus, j’y entrevois de plus grandes perspectives de développement et prospérité.
En dépit de quelques problèmes et difficultés pour arriver à une position commune sur un certain nombre de questions, l’UE reste toujours un exemple positif d’expérience d’intégration et montre un bon potentiel de développement futur.
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